Date de sortie | 27/03/2007 |
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Donateur | Hachimé Abderemane |
Ile de Mohéli – le Parc Marin de Mohéli
Cette première aire marine protégée créée aux Comores en 2001 comprend les îlots de Nioumachoua. Ceux-ci forment un ensemble magnifique sur le plan écologique mais aussi sur le plan esthétique et ont donc un potentiel scientifique et récréatif très important. Lieu important de fréquentation et de reproduction d'espèces migratrices menacées d'extinction comme les tortues marines, la zone du parc abrite différents types d'habitats : plages de sable corallien, sable d'origine volcanique, galets ; mangroves; grandes îles de végétation terrestre; récifs coralliens de type frangeant. Ces écosystèmes ont été soumis à diverses pressions : surexploitation des ressources halieutiques, prélèvement illégal de tortues marines, déforestation et érosion des sols, extraction de sable et tourisme incontrôlé. Le parc comprend des zones terrestres adjacentes qui sont essentielles pour l'intégrité de la biodiversité de la zone, y compris le lac Dziani-Boundouni. Ce lac de cratère a été classé comme zone humide d'importance internationale en vertu de la Convention de Ramsar en raison de la grande diversité d'oiseaux aquatiques, y compris une grande population de grèbes Tachybaptus ruficollis. Le développement de l'agriculture a entraîné la destruction de la forêt qui couvrait le bassin versant du lac. Cette forêt est l'habitat de plusieurs espèces menacées dont le lémurien Mongoz (Eulemur mongoz). L'érosion des pentes et la perte de capacité de rétention d'eau du sol réduisent considérablement l'alimentation du lac, entraînant progressivement son assèchement. En outre, Ce lac de cratère a été classé comme zone humide d'importance internationale en vertu de la Convention de Ramsar en raison de la grande diversité d'oiseaux aquatiques, y compris une grande population de grèbes Tachybaptus ruficollis. Le développement de l'agriculture a entraîné la destruction de la forêt qui couvrait le bassin versant du lac. Cette forêt est l'habitat de plusieurs espèces menacées dont le lémurien Mongoz (Eulemur mongoz). L'érosion des pentes et la perte de capacité de rétention d'eau du sol réduisent considérablement l'alimentation du lac, entraînant progressivement son assèchement. En outre, Ce lac de cratère a été classé comme zone humide d'importance internationale en vertu de la Convention de Ramsar en raison de la grande diversité d'oiseaux aquatiques, y compris une grande population de grèbes Tachybaptus ruficollis. Le développement de l'agriculture a entraîné la destruction de la forêt qui couvrait le bassin versant du lac. Cette forêt est l'habitat de plusieurs espèces menacées dont le lémurien Mongoz (Eulemur mongoz). L'érosion des pentes et la perte de capacité de rétention d'eau du sol réduisent considérablement l'alimentation du lac, entraînant progressivement son assèchement. En outre, Le développement de l'agriculture a entraîné la destruction de la forêt qui couvrait le bassin versant du lac. Cette forêt est l'habitat de plusieurs espèces menacées dont le lémurien Mongoz (Eulemur mongoz). L'érosion des pentes et la perte de capacité de rétention d'eau du sol réduisent considérablement l'alimentation du lac, entraînant progressivement son assèchement. En outre, Le développement de l'agriculture a entraîné la destruction de la forêt qui couvrait le bassin versant du lac. Cette forêt est l'habitat de plusieurs espèces menacées dont le lémurien Mongoz (Eulemur mongoz). L'érosion des pentes et la perte de capacité de rétention d'eau du sol réduisent considérablement l'alimentation du lac, entraînant progressivement son assèchement. En outre,